Le métier de joaillier n’est pas figé dans le temps. Il évolue au rythme des innovations techniques, des exigences des maisons de luxe, des tendances esthétiques… et des défis contemporains.
Ce que chaque professionnel sait au fond : on n’a jamais “fini d’apprendre”.

Chez JODH, nous vivons ce métier comme un chemin d’exigence et d’humilité, où la main progresse sans cesse, même après des décennies.

Le joaillier : entre tradition et adaptation permanente

Être un professionnel de la joaillerie, c’est d’abord être héritier d’un savoir-faire ancestral : celui du feu, du métal, de la pierre.
Mais c’est aussi savoir évoluer, car les demandes d’aujourd’hui ne sont pas celles d’hier :

  • Montures plus fines et complexes

  • Nouveaux matériaux (titane, céramique, platine recyclé…)

  • Attentes élevées en matière de durabilité, traçabilité, finition

  • Innovations techniques (sertissage laser, CAO, impression 3D)

Un bon artisan n’oppose jamais le passé au présent. Il les fait dialoguer.

Des gestes fondamentaux, perfectionnés chaque jour

Souder, limer, sertir, polir… Les gestes fondamentaux restent, mais se précisent.
Un artisan expert est celui qui cherche toujours à mieux faire : plus précis, plus rapide, plus propre, plus juste.

👉 Exemple : apprendre à gérer un alliage en or blanc 750 au palladium n’est pas inné. Cela demande des essais, des échecs, des retours à l’établi.

L’humilité est la clé du progrès dans ce métier.

La technologie, une alliée (pas un remplacement)

Le joaillier moderne sait travailler avec :

  • Des logiciels de CAO (conception assistée par ordinateur) pour concevoir ou visualiser des pièces

  • Des machines de micro-fusion ou impression cire pour des prototypes complexes

  • Des microscopes pour le sertissage de haute précision

Mais il sait aussi que l’œil et la main humaine restent irremplaçables pour :

  • L’ajustage d’une pierre

  • Le ressenti d’un métal sous la lime

  • L’émotion transmise par une finition manuelle

Un métier d’équipe et de spécialisation

Aujourd’hui, le joaillier travaille en lien avec une chaîne de savoir-faire :

  • Dessinateur

  • Designer

  • Modeleur

  • Fondeur

  • Sertisseur

  • Polisseur

  • Graveur

  • Laqueur

  • Chef d’atelier

  • Coordinateur technique

Connaître son poste, c’est bien. Comprendre ceux des autres, c’est indispensable pour créer des bijoux d’exception.

La formation continue : un réflexe de l’excellence

Chez JODH, chaque artisan continue de se former, de se remettre en question :

  • Nouvelles techniques (serti rail, montage articulé, fermeture invisible)

  • Nouvelles normes (alliages sans nickel, sourcing éthique, recyclage)

  • Nouvelles attentes client (personnalisation, innovation, storytelling)

Car ce qui nous lie : la fierté du travail bien fait, jamais figé, toujours en mouvement.

CAO DAO et travail de la pièce - MAISON JODH pendentif trefle en or 18 carats

Le métier de joaillier est un métier d’orfèvre, au sens noble du terme. Mais c’est aussi un métier d’ouverture, de remise en question, de progrès.
Chaque pièce est un défi, chaque client une nouveauté, chaque jour une occasion de mieux faire.

🔸 Chez JODH, notre atelier vit cette philosophie : conjuguer l’excellence traditionnelle avec la modernité technique. Car un bon joaillier ne cesse jamais de se former. Il avance, avec patience, passion et précision.